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Injustice, bis répétita ~ Songkrah


 

Les deux ou trois racailles de la diversité coupables d’avoir lynché à mort Philippe Monguillot, un chauffeur de bus à Bayonne s’en sortent le mieux possible, si l’on en croit le verdict, c’est à dire : 13 et 15 ans de prison. 

En effet, le juge d’Instruction chargé du dossier a décidé de requalifier les poursuites contre les meurtriers en violences volontaires en réunion, ayant entraîné la mort sans intention de la donner.

 C’est à dire qu’ils ne passeront pas en Cour d’Assises mais en Correctionnelle.

Quand on donne de violents coups de pied dans la tête après avoir fait chuter la personne au sol et qu’un  proche témoin déclare qu’il a entendu dans la bouche  d’un de ces salopards « on va te finir », que faut-il de plus pour que la volonté de tuer soit évidente ?

Ce juge les fait ainsi échapper à une lourde sanction, qui serait pourtant en adéquation avec leur bestialité. Aux USA ils auraient écopé de la prison à vie, ou même de la peine capitale. Ce qui aurait débarrassé la société d’au moins deux parasites dangereux, car ne nous y trompons pas, ils seront libérés bien avant la totalité de la peine.

En avril, le Parquet de Bayonne avait demandé le renvoi aux Assises pour homicide pour homicide volontaire aggravé. En fait, on vient d’assister là à une parodie de justice et un véritable scandale bien digne de cette pseudo Justice qui ne cesse de privilégier le bourreau sur la victime. J’espère que la veuve du chauffeur assassiné fera appel.

Notre système judiciaire est partiellement infesté de juges rouges, qui jugent en fonction de critères idéologiques, cela ajouté à un laxisme généralisé. Ce qui signifie que passer entre les mains d’un magistrat gauchiste si l’on est considéré comme un simple franchouillard de droite et pire encore d’extrême droite c’est la garantie d’un maximum de peine. Par contre, un voyou de la diversité va profiter de la culture de l’excuse de la compréhension et de la bienveillance des juges avec la chance d’une peine bien plus légère.

Peu de temps après cette pénible affaire, une deuxième tout aussi dégoûtante, a défrayé la chronique  des faits divers. Cette fois c’est à Versailles, qu’une femme de 67 ans mère de trois enfants, a subi un martyre durant de longues heures, infligé par un Algérien sous OQTF. Violée de la pire des façons toute une nuit et attachée avec du fil électrique. Attaquée dans la cour de son immeuble, endroit où elle pouvait se croire en sécurité, quand l’intrus en question lui saute dessus, se met à la frapper avec fureur, à l’étrangler et ensuite, la force à lui ouvrir sa porte.

Au matin, le monstre s’échappe, laissant sa victime tuméfiée au point de n’être pas reconnue de sa voisine de palier. Et ce clandestin qui devait être expulsé du territoire depuis un certain temps habitait la ville de Trappes. Et ils sont des milliers dans ce cas, à ne pas être expulsés  après une obligation et à constituer des dangers potentiels. Alors que l’on ne vienne pas nous raconter que immigration sans contrôle, et insécurité ne sont pas liés. Des faits similaires sont à présent trop nombreux pour ne pas les dénoncer.

On donne facilement l’impression de répéter de vieux poncifs, mais ce n’est que pour compenser l’omerta des médias sur tout ce qui touche les côtés négatifs de l’immigration.

Curieusement, ces faits sordides sont souvent minimisés par la presse mainstream. Seulement, et heureusement,   les réseaux sociaux  donnent des détails sur leurs atrocités et surtout  nomment les auteurs. Si les coupables sont d’origine européenne, on apprendra tout de suite leurs nom, prénom et tout ce qui concerne leur vie sociale et professionnelle. Par contre, s’ils sont étrangers, en particulier de la catégorie des protégés, la presse est aux abonnés absents.

L’ex-ministre Jack Lang avait pourtant reconnu que 70 % des détenus étaient des afro-musulmans. Et selon l’Observatoire national de la délinquance le nombre d’agressions à l’arme blanche était de 44 000 entre 2015 et 2017, soit 120 victimes par jour. D’autre part, il faut savoir que 750 millions d’euros sont pris dans la poche des français pour alimenter les associations pro-migrants ; avec la prise en compte de 6 000 mineurs isolés. Et on comptabilise en tout 1350 de ces associations qui vivent sur le dos de la bête. Cela aussi relève d’un scandale soutenu par l’extrême gauche, le PS et le patronat.

« Le nationalisme est une attitude de défense, rendue nécessaire par la faiblesse de l’Etat  » (Jacques Bainville)

Onyx

songkrah.blogspot.com

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