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√La guerre contre la réalité est terminée ~ Songkrah


… cette fois-ci, l’histoire a échappé aux garde-fous narratifs et un véritable règlement de comptes se profile à l’horizon. − Jeff Childers


Par James Howard Kunstler – Le 29 août 2025 – Source Clusterfuck Nation

Le suspect de Minneapolis connaissait sa cible, mais le motif reste un mystère

Sans le savoir, ce titre du New York Times est un merveilleux exemple de mystère qui se résout de lui-même. Vous venez ici pour comprendre les nombreux mystères sociaux et politiques de l’actualité. Je vais tenter de démêler cette pelote de laine.

De toute évidence, le suspect, désormais décédé, de la fusillade dans une école de Minneapolis mercredi n’était pas une « elle ». C’était un « lui », un homme de 23 ans, Robert Westman, qui prétendait être une femme depuis plusieurs années, depuis la puberté, avec l’encouragement de ses parents et des leaders culturels de sa ville, notamment le gouverneur Tim Walz et le maire Jacob Frey, soutenus par les principes exprimés par le Parti démocrate national.

Tout cela n’était en réalité qu’un gigantesque jeu de faux semblant, une dissociation large et délibérée de la réalité dans le but de maintenir une opération de racket politique, ce qu’était devenu le Parti démocrate. Faire semblant que les hommes peuvent devenir des femmes. Faire semblant que les vaccins contre le virus de la Covid-19 sont sûrs et efficaces. Faire semblant que les frontières nationales n’ont pas d’importance. Faire semblant que la criminalité n’est pas un problème social. Faire semblant que les émeutes sont pour la plupart pacifiques. Faire semblant que nos élections sont libres et équitables. Faire semblant que « Joe Biden » est président. Faire semblant que l’Ukraine se bat pour la démocratie. Et ainsi de suite. Tout est faux.

Comme le Parti démocrate n’a aucune idée utile pour améliorer la vie des citoyens de ce pays, tout ce qu’il a, c’est un théâtre de faux-semblants, qui est une psychopathologie performative publique, autrement dit un passage à l’acte. Les meurtres de masse d’écoliers par des personnes dites transgenres sont les acting-out les plus criards et les plus horribles, les plus offensants pour la société, un massacre d’innocents. Un tel acte attire l’attention de tout le monde. Le New York Times prétend que tout cela est « un mystère » parce que dire la vérité les rendrait complices de l’opération criminelle de racket menée par leur protecteur, le Parti démocrate.

Ils savent tous quelle est la vérité dans cette affaire : Robert Westman est devenu fou, au moins à la puberté, peut-être même avant, et ses parents ont eu recours à la persuasion pour convaincre leur enfant qu’il était né dans le mauvais corps — selon la théorie à la mode — afin de remédier à sa détresse psychologique. Il a ensuite été influencé pour jouer le rôle d’une femme. Il est possible qu’il ait été incité à suivre un certain nombre de « traitements » médicaux censés faciliter sa transition vers le sexe opposé, par exemple un traitement hormonal. Cela n’a pas encore été rapporté. (A-t-il même fait l’objet d’une enquête de la police ou des médias ?)

Bien sûr, les « soins médicaux d’affirmation du genre » sont une fraude vicieuse, tout comme l’idée absurde de « l’attribution du sexe à la naissance » (comme s’il s’agissait d’une fonction administrative sujette à l’erreur). Les hommes ne peuvent pas être transformés en femmes, peu importe les modifications hormonales ou les interventions chirurgicales qu’ils subissent. Il ne s’agit que de costumes et de maquillage, à un degré extrême, pour renforcer le jeu de la simulation. Cela doit également être terriblement décevant pour la personne qui subit ces rigueurs malveillantes.

Comme dans le cas du psychopathe Robert Westman, il a découvert son erreur tragique précisément à la période de sa vie — à l’entrée dans l’âge adulte — où les émotions ont tendance à être les plus instables. S’il prenait également des médicaments psychotropes tels que les ISRS (Prozac, Zoloft, Paxil, Celexa, etc.), connus pour provoquer des pensées suicidaires et homicides, combinés à son instabilité émotionnelle, vous obtenez là une recette évidente pour un désastre. Rien de tout cela n’est mystérieux.

Tout comme les traces qu’il a laissées dans son « manifeste » ou dans les vidéos et les publications qu’il a mises en ligne sur les réseaux sociaux. Westman a manifesté une rage et un désespoir profonds face au mauvais choix qu’il a été amené à faire à un moment de sa vie où la région de son cerveau responsable du jugement n’était pas encore complètement développée. « Je suis fatigué d’être trans », a-t-il écrit. « J’aurais aimé ne jamais m’être lavé le cerveau. » Ce n’était toutefois pas vraiment de sa faute. Il y a été poussé par sa propre famille et fortement soutenu par la culture qui l’entourait dans le « refuge transgenre » de Tim Walz, l’État du Minnesota — l’État qui nous a également donné George Floyd, le faux martyr de la victimisation des Noirs, dont la mort a provoqué une agitation raciale nationale qui a duré des années. Et, bien sûr, Tim Walz était récemment le porte-drapeau du Parti démocrate, une figure emblématique de toute leur folie.

La fusillade de mercredi à Minneapolis semble être un événement charnière dans la politique américaine. Nous avons fini de faire semblant. Le transgenrisme n’est plus une mode politique. Les médecins devront renoncer à leurs prétentions en matière de « soins affirmant le genre » s’ils ne veulent pas être ruinés par des poursuites judiciaires ou poursuivis pour faute professionnelle criminelle. Les politiciens comme Walz et Frey finiront par se taire sur le sujet du transgenrisme. Mais on sent qu’il y a autre chose derrière tout cela.

L’Amérique en a assez d’être intimidée et culpabilisée pour l’entraîner dans la matrice du mensonge et le racket qui y prospère. Et nous allons nous attaquer aux racketteurs. Cette semaine, le président Trump a suggéré une enquête RICO et une éventuelle poursuite judiciaire contre George et Alex Soros, pour avoir utilisé leur vaste empire philanthropique Open Society comme une colossale opération de blanchiment d’argent afin de financer les activités du Parti démocrate, y compris tous leurs efforts pour perturber le système juridique, parrainer des émeutes, payer des migrants illégaux, promouvoir l’activisme transgenre, truquer les élections et financer la sédition. Sans cet afflux d’argent, dont une grande partie sert à soutirer des dollars aux contribuables par le biais du Congrès, le parti ne peut pas continuer à payer ses soldats Antifa dans les rues, ni les salaires somptueux de ses cadres intermédiaires dans un monde d’organisations à but non lucratif corrompues.

Entre cela et les poursuites judiciaires à venir contre ses nombreuses figures de proue, des Clinton à Adam Schiff en passant par la procureure générale de New York Letitia James et bien d’autres noms que vous connaissez bien, le Parti démocrate – et sa guerre contre la réalité – pourrait bien être véritablement fini.

James Howard Kunstler

Pour lui, les choses sont claires, le monde actuel se termine et un nouveau arrive. Il ne dépend que de nous de le construire ou de le subir mais il faut d’abord faire notre deuil de ces pensées magiques qui font monter les statistiques jusqu’au ciel.

Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone

songkrah.blogspot.com

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