√17 découvertes historiques énigmatiques suggérant que des civilisations dotées d’une haute technologie existaient il y a des milliers (ou des millions) d’années ~ Songkrah
Par Tara MacIsaac − Le 10 juillet 2025 − Source The Epoch Times
Si l’on s’en tient à la vision conventionnelle de notre histoire, les êtres humains n’ont foulé la terre sous leur forme actuelle que depuis 200 000 ans environ. Le plus gros des inventions mécaniques que nous connaissons actuellement n’a été découvert qu’au cours des deux derniers siècles, durant la Révolution industrielle. Pourtant, des éléments évoquent l’existence de civilisations avancées il y a plusieurs milliers d’années — voire plus tôt que cela.
Le terme « oopart » — ou « artefact anachronique » — est utilisé pour désigner les nombreux objets préhistoriques découverts en divers lieux du monde jusqu’à nos jours, indiquant un niveau de sophistication technologique décalé par rapport à notre paradigme actuel.
De nombreux scientifiques s’emploient à évacuer ces ooparts en les classant comme des phénomènes naturels. Mais d’autres affirment que ces explications ne font que dissimuler des preuves de plus en plus nombreuses étayant la thèse selon laquelle les civilisations préhistoriques disposaient de connaissances avancées, et que ces connaissances se sont perdues au cours des âges pour être redécouvertes récemment.
Nous allons ici considérer une gamme d’ooparts, remontant à des millions ou à des centaines d’années dans le passé, mais démontrant tous supposément des avancées très en avance sur leur temps.
Nous ne pouvons nous prononcer sur le caractère concret ou fictionnel de chacun d’entre eux. Nous ne pouvons que proposer une fenêtre ouverte sur l’état des connaissances, des suppositions et des hypothèses concernant ces phénomènes, dans un esprit d’ouverture et d’acceptation de véritables découvertes scientifiques.
17 : des piles électriques vieilles de 2000 ans ?
Il est prouvé que des jarres en argile, avec des bouchons en bitume et des tiges en fer, fabriquées il y a plus de 2000 ans, étaient capables de générer un potentiel électrique supérieur à 1 volt. Ces « piles » anciennes ont été découvertes en 1938 par Wilhelm Konig, un archéologue allemand, aux proches abords de Baghdad, en Irak.

À droite : une illustration d’une pile de Baghdad provenant d’images de musées. (Ironie/Wikimedia Commons) À l’arrière : la carte de la zone des alentours de l’actuelle Baghdad, en Irak. Cmcderm1/iStock/Thinkstock.
« Ces piles ont toujours fait l’objet d’un intérêt curieux, » affirmait le Dr. Paul Craddock, un expert en métallurgie du British Museum à la BBC en 2003. « Elles sont uniques. En l’état de nos connaissances, personne n’a rien découvert de semblable. Ce sont des objets étranges ; des énigmes de la vie. »
16 : d’anciennes ampoules égyptiennes ?
Un bas-relief visible sous le Temple de Hathor, à Dendera, en Égypte, montre des personnages debout autour d’un objet ressemblant à une grande ampoule électrique. Erich Von Däniken, auteur de « Chariot of the Gods, » a créé un prototype de cette ampoule qui fonctionne lorsqu’on le relie à une source de courant, et émet une lumière étrange et violette.

L’objet en forme d’ampoule, gravé dans une crypte située sous le Temple de Hathor, en Égypte. Lasse Jensen/CC BY 2.5
15: La Grande Muraille du Texas
En 1852, dans le comté actuel de Rockwall, au Texas, des agriculteurs qui creusaient un puits ont découvert ce qui ressemblait à un ancien mur de pierre. Estimé remonter entre 200 000 et 400 000 ans, certains expliquent son origine par des formations naturelles, et d’autres affirment qu’il a clairement été fabriqué par l’homme.

Photo historique du « mur » découvert à Rockwall, au Texas. Domaine public.
Le Dr. John Geissman, de l’Université du Texas, à Dallas, a réalisé des tests sur les pierres dans le cadre d’un documentaire paru sur la chaîne télévisée History. Il a découvert que toutes les pierres étaient magnétisées de la même manière, ce qui suggère qu’elles se sont formées sur site, et n’ont pas été déplacées sur ce site depuis un autre lieu. Mais certaines personnes n’estiment pas ce seul test réalisé pour la télévision comme convaincant, et demandent que d’autres études soient menées.
Le géologue James Shelton, et l’architecte sorti de Harvard John Lindsey ont noté des éléments indiquant une conception architecturale, comme des arches, des portails à linteaux, et des ouvertures carrées ressemblant à des fenêtres.
14 : Un réacteur nucléaire vieux de 1,8 milliard d’années ?
En 1972, une usine française a importé du minerai d’uranium provenant d’Oklo, en République gabonaise, en Afrique. Ce minerai avait déjà été exploité. On a découvert que son site d’origine avait apparemment fonctionné comme un grand réacteur nucléaire, apparu il y a 1,8 milliard d’années, et resté fonctionnel durant quelque 500 000 ans.

Site du réacteur nucléaire, Oklo, République du Gabon. NASA.
Le Dr. Glenn T. Seaborg, ancien chef de la Commission à l’énergie atomique des États-Unis, et lauréat du Prix Nobel pour ses travaux sur la synthèse des éléments lourds, pense qu’il ne s’agit pas d’un phénomène naturel, et que l’on a donc affaire à un réacteur nucléaire construit par l’homme.
Des conditions très précises sont requises pour faire « brûler » l’uranium dans le cadre d’une réaction. Il faut une eau extrêmement pure, beaucoup plus pure que l’eau qui existe à l’état naturel. Pour qu’une fission nucléaire se produise, il faut disposer de l’isotope 235 de l’uranium. Il s’agit de l’un des isotopes présents naturellement dans l’uranium. Plusieurs spécialistes en ingénierie de réacteurs ont affirmé leur opinion, selon laquelle l’uranium d’Oklo ne disposait pas de l’élément U-235 en proportion suffisante pour qu’une réaction naturelle se produisît.
13 : Des navigateurs produisant des cartes maritimes avant que l’Antarctique fût couverte de glace ?
Une carte créée par l’amiral et cartographe turc Piri Reis en 1513, mais basée sur plusieurs cartes plus anciennes, est considérée par certains comme montrant l’Antarctique en des âges très anciens, avant qu’elle fût recouverte par les glaces.

Une portion de la carte établie en 1513 par Piri Reis. Domaine public.
On y voit une masse terrestre dépasser de la ligne côtière septentrionale de l’Amérique du Sud. Le capitaine Lorenzo W. Burroughs, de la section cartographique de l’U.S. Air Force, a écrit en 1961 une lettre au Dr. Charles Hapgood, affirmant que cette carte de la masse terrestre ressemble trait pour trait à la côte de l’Antarctique telle qu’elle existe sous les glaces.
Le Dr. Hapgood (1904-1982) fut l’un des premiers à suggérer publiquement que la carte établie par Piri Reis pourrait montrer l’Antarctique durant l’époque préhistorique. Il s’agissait d’un historien formé à Harvard, dont les théories sur les bouleversements géologiques lui avaient valu l’admiration d’Albert Einstein. Il a émis l’hypothèse selon laquelle les masses terrestres se déplaçaient, ce qui expliquerait pourquoi l’Antarctique était décrite comme reliée à l’Amérique du Sud.
Des études modernes réfutent la théorie de Hapgood voulant que ce bouleversement géologique se produisît en quelques milliers d’années, mais elles montrent qu’il a pu se produire sur des millions d’années.
12: Un sismographe vieux de 2000 ans
En 132 après Jésus-Christ, Zhang Heng a créé le premier sismoscope. La manière dont il fonctionne précisément reste un mystère, mais des répliques ont démontré une précision comparable aux instruments modernes.

Réplique d’un ancien sismoscope fabriqué par la Dynastie orientale des Han (25-220 après J-C), et son inventeur, Zhang Heng. Wikimédia Commons.
En l’an 138, l’appareil a indiqué avec justesse l’occurrence d’un séisme à environ 500 kilomètres à l’Ouest de Luoyang, la capitale. À Luoyang, personne n’avait perçu la moindre secousse, et l’avertissement émis par l’appareil était resté ignoré jusqu’à l’arrivée d’un messager, plusieurs jours plus tard, demandant de l’aide.
11 : des tuyaux vieux de 150 000 ans ?
Des grottes situées aux abords du mont Baigong, en Chine, contiennent des tuyaux menant à un lac voisin. Ces tuyaux ont été datés par l’institut de géologie de Pékin comme remontant à environ 150 000 ans, selon Brian Dunning, de Skeptoid.com.

Photographie d’archive d’un tuyau, et vue du lac de Qinghai, en Chine, auprès duquel on a découvert les mystérieux tuyaux en fer. NASA ; image du tuyau Zhax/Shutterstock.
Le média d’État Xinhua a rapporté que les tuyaux avaient été analysés dans une fonderie locale, et que 8% des matériaux les composant n’avaient pas pu être identifiés. Zheng Jiandong, un chercheur en géologie appartenant à l’administration sismique de la Chine, a affirmé en 2007 au journal d’État People’s Daily que certains de ces tuyaux émettaient une forte radioactivité.
Jiandong a affirmé qu’un magma riche en fer a pu sortir des profondeurs terrestres, amenant le fer dans des fissures où il a pu se solidifier sous forme de tuyaux ; mais il a reconnu qu’« Il y a bien quelque chose de mystérieux avec ces tuyaux. » Il a cité la radioactivité comme exemple des qualités étranges de ces tuyaux.
10: La Machine d’Anticythère
Une machine souvent présentée comme un ancien « ordinateur », fabriquée par les Grecs vers 150 avant J-C, capable de calculer des changements astronomiques avec une précision remarquable.

La Machine d’Anticythère est un appareil mécanique vieux de 2000 ans, utilisé pour calculer les positions du soleil, de la lune, des planètes et mêmes les dates des anciens Jeux Olympiques. Maryas/CC by SA 3.0
« Si on ne l’avait pas découverte… personne n’aurait pu croire en son existence car elle est très avancée, » a affirmé le mathématicien Tony Freeth, dans un documentaire publié sur NOVA. Mathias Buttet, directeur de la R&D chez Hublot, le fabricant de montres, a affirmé dans une vidéo publiée par le ministère de la culture et du tourisme grec que « Cette Machine d’Anticythère intègre des caractéristiques ingénieuses que l’on ne trouve pas dans l’horlogerie moderne. »
Note du traducteur : cette machine à elle seule mérite qu’on s’y intéresse, et suffit à remettre en question les paradigmes établis concernant le savoir et le « progrès ».
9: Le foret dans le charbon
Le 13 décembre 1852, John Buchanan, Esq., présentait un objet mystérieux à une réunion de la Société des Antiquaires d’Écosse. On avait découvert un foret encapsulé dans une veine de charbon d’environ 55 cm d’épaisseur, enterrée dans un lit d’argile parsemée de pierres épais d’un peu plus de 2 mètres.

Image d’archive de charbon (Kkymek/iStock) Image d’archive d’un foret Konstik/iStock; edited by Epoch Times
On affirme que le charbon trouvé sur terre s’est constitué il y a des centaines de millions d’années. La Société des Antiquaires statua que l’instrument présentait un niveau d’avancement moderne. Mais elle conclut que « l’instrument de fer aurait pu appartenir à une foreuse brisée durant de précédentes recherches de charbon. »
Le rapport détaillé produit par Buchanan ne comprenait pas le moindre signe que le charbon entourant l’instrument fût percé ou foré.
8 : Des sphères vieilles de 2,8 milliards d’années ?
Des sphères avec de petites rayures, trouvées dans des mines d’Afrique du Sud, sont considérées par certains observateurs comme des masses minérales formées naturellement. D’autres analystes affirment qu’elles ont été façonnées avec précision par une main humaine préhistorique.

En haut à gauche, en bas à droite : des sphères, connues sous le nom de sphères de Klerksdorp, découvertes dans des dépôts de pyrophyllite (rhyolite) aux abords d’Ottosdal, en Afrique du Sud. (Robert Huggett) En haut à droite, en bas à gauche : des objets similaires connus sous le nom de billes de Moqui, provenant de grès Navajo dans le Sud-Est de l’Utah. Paul Heinrich.
« Les globes, qui présentent à l’intérieur une structure fibreuse entourée d’une coquille, sont très dures, et même l’acier ne peut pas les rayer, » affirme Roelf Marc, curateur du musée de Klerksdorp, Afrique du Sud, selon l’ouvrage de Michael Cremo « Forbidden Archeology : The Hidden History of the Human Race. » Marx affirme que les sphères datent d’environ 2,8 milliards d’années.
S’il s’agit de masses minérales, nul ne sait dire exactement comment elles se sont formées.
7: Le pilier de fer de Delhi
Ce pilier a au moins 1500 ans, mais pourrait être plus ancien encore. Il reste inattaqué par la rouille et présente une pureté stupéfiante. Il est constitué de fer à 99,72%, selon le professeur A.P. Gupta, chef du Département de Sciences Appliquées et des Humanités à l’Institut de Technologie et de Management d’Inde.

Une inscription remontant à environ 400 ans après J-C, par le roi Chandragupta II sur le Pilier de Fer de Delhi. Upadhayaya/Epoch Times
Dans les temps modernes, on a fabriqué du fer forgé avec une pureté de 99,8%, mais il contient du manganèse et du souffre, des ingrédients que l’on ne trouve pas dans ce pilier.
Il a été fabriqué au moins « 400 ans avant que la plus grande fonderie connue au monde ait pu le produire, » a écrit John Rowlett dans « Une Étude des Artisanats des Civilisations Anciennes et Médiévales pour Montrer l’Influence de leur Apprentissage sur notre Méthode Actuelle d’Apprentissage du Commerce. »
6 : L’épée Viking Ulfberht
Lorsque les archéologues ont découvert l’épée Viking Ulfberht, remontant entre 800 et 1000 ans après J-C, ils ont été stupéfaits. Ils ne comprenaient pas comment la technologie de fabrication d’une telle épée pût exister avant la Révolution Industrielle, 800 années plus tard.

Une épée d’Ulfberht exposée au Germanisches Nationalmuseum, Nuremberg, Allemagne. Martin Kraft/CC BY-SA 3.0
Son taux de carbone est trois fois plus élevé que les autres épées de l’époque, et les impuretés en ont été retirées au point que le minerai de fer a dû être chauffé à au moins 3000 degrés Fahrenheit.
Avec d’énormes efforts et une grande précision, le forgeron moderne Richard Furrer a forgé dans le Wisconsin une épée de la qualité d’Ulfberht en utilisant des technologies disponibles au Moyen-Âge. Il a affirmé qu’il s’agissait du travail le plus compliqué qu’il ait jamais réalisé, et a utilisé des méthodes dont on ignorait que les hommes de l’époque pussent avoir eu connaissance.
5: Un marteau vieux de 100 millions d’années ?
En 1934, on découvrit à London, Texas, un marteau emprisonné dans une roche qui s’était constituée autour de l’objet. La roche entourant le marteau est considérée comme remontant à plus de 100 millions d’années.
Glen J. Kuban, très sceptique vis-à-vis des affirmations selon lesquelles le marteau aurait été fabriqué il y a des millions d’années, a affirmé que la pierre peut contenir des éléments remontant à plus de 100 millions d’années, mais que cela n’implique pas que la roche formée autour du marteau serait elle-même aussi ancienne.
Il ajoute que du calcaire s’est formé autour d’objets connus fabriqués au XXème siècle, si bien que des concrétions peuvent rapidement se former autour des objets. (Les concrétions sont des masses de matière minérale durcie).
Carl Baugh, qui était en possession de l’objet, a affirmé que le manche de bois s’est transformé en charbon (une preuve de son âge avancé) et que le métal composant le marteau présente une étrange composition. Des critiques ont appelé à des tests indépendants pour vérifier ces affirmations, mais à ce stade, on n’a guère réalisé de tests.
4 : Chantier préhistorique ?
Au XVIIIème siècle, aux abords d’Aix-en-Provence, en France, des travailleurs sont tombés sur des outils emprisonnés dans une couche calcaire souterraine à quinze mètres sous le sol.
La découverte a été rapporté dans l’American Journal of Science and Arts en 1820 par T.D. Porter, qui traduisait l’ouvrage du comte Bournon, « Mineralogy ».

Photo d’une formation de roche calcaire. Andrew Roland/Shutterstock
Les instruments en bois s’étaient transformés en agate, une roche dure. Porter a écrit : « Tout tend à prouver que ce travail fut exécuté sur le lieu-même où existaient les traces. La présence de l’homme avait précédé la formation de cette roche, et ce de beaucoup, car il était déjà parvenu à un tel degré de civilisation qu’il connaissait les arts, et qu’il a façonné la roche et les colonne formées à partir de cette roche. »
Comme dans le cas du marteau ci-avant, la formation relativement rapide de calcaire autour d’outils moderne constitue un fait connu.
3: Un pont d’un million d’années ?
Selon une ancienne légende indienne, le roi Rama construisit un pont reliant l’Inde et le Sri Lanka, il y a plus d’un million d’années. On a distingué par satellite ce qui ressemble à des vestiges de pont, mais de nombreux observateurs affirment qu’il s’agit d’une formation naturelle.

Adam’s Bridge, également connu sous le nom de Rama’s Bridge, ou Ram Setu, entre l’Inde et le Sri Lanka. NASA
Le Dr. Badrinarayanan ancien directeur du Geological Survey of India, a étudié des échantillons prélevés au cœur du pont. Il a été stupéfié par l’apparence de grosses pierres trouvées au dessus d’une couche de sable sous l’eau, et a émis l’hypothèse selon laquelle les pierres y auraient été positionnées de manière artificielle.
Aucune explication naturelle n’a fait l’objet d’un consensus de la part des géologues. La datation elle-même est controversée, certains affirmant qu’une partie du pont (comme les échantillons de corail) ne peuvent pas apporter une image juste de l’âge de l’ensemble du pont.
2: une bougie d’allumage vieille de 500 000 ans ?
En 1961, trois personnes qui cherchaient des cristaux pour leur boutique de pierres et de bibelots d’Olancha, en Californie, ont découvert ce qui ressemblait à une bougie d’allumage encapsulée dans un cristal. Virginia Maxey, qui figurait parmi les trois personnes, a affirmé à l’époque qu’un géologue avait examiné les fossiles présents aux abords de cet objet et l’avait daté de 500 000 ans ou plus.
On n’a jamais su le nom du géologue, et on ne sait pas ce qu’est devenu cet objet. Les critiques de l’affirmation, Pierre Stromberg et Paul V. Heinrich, ne disposent que de rayons X et d’un croquis d’artiste de l’objet à analyser. Ils pensent qu’il s’agissait d’une bougie moderne encapsulée dans une concrétion à formation rapide, et pas un cristal.
Mais Stromberg et Heinrich ont affirmé qu’« il n’existe guère de preuve tangible que les découvreurs originels aient eu pour dessein de tromper quiconque. »
1: Un mur préhistorique aux abords des Bahamas ?
Un mur de pierres constitué de gros blocs a été découvert au large des Bahamas en 1968. L’archéologue William Donato a mené de nombreuses plongées pour enquêter sur ce mur, et émet pour hypothèse qu’il s’agit d’une structure édifiée par l’homme il y a 12 000 à 19 000 ans, construite pour protéger une colonie préhistorique des vagues.
Il a établi qu’il s’agissait d’une structure à plusieurs étages, comprenant des éléments de décor qui semblent y avoir été placés par la main de l’homme. Il a également découvert ce qu’il pense être des pierres percées d’un trou, utilisées comme ancres.

Des pierres immergées au large des Bahamas, considérées par certains analystes comme constituant un mur fabriqué par l’homme, en date d’il y a plus de 10 000 ans. FtLaud/Shutterstock
Le Dr. Engene Shinn, un géologue à la retraite qui a travaillé pour l’U.S. Geological Survey, a affirmé que des échantillons de pierre prélevés au cœur de l’ouvrage plongent vers le large. Si toutes les pierres sont inclinées de la sorte, il s’agit d’une preuve que les roches se sont formées sur place et pas ailleurs, et n’ont pas été transportées par l’homme jusqu’à leur emplacement actuel.
Il a par la suite écrit que tous ses échantillons présentaient cette inclinaison, semblant prouver qu’il s’agit d’une formation naturelle. Mais son étude préalable affirmait que seulement 25% de ses échantillons présentaient cette inclinaison.
Le Dr. Greg Little, un psychologue qui s’est intéressé à cette structure, a mis Shinn face à cette contradiction, et Shinn a reconnu ne pas avoir vraiment pris cette étude au sérieux. Il a affirmé : « je me suis un peu laissé emporter pour produire une belle histoire. »
Tara MacIsaac
Traduit par José Martí, relu par Wayan, pour le Saker Francophone
songkrah.blogspot.com
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