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√Le piège des objets connectés : projet du gouvernement pour vous surveiller, vous noter et vous contrôler ~ Songkrah


Quant les États légalisent la fin délibérée de certaines vies… cela finit par déboucher sur un élargissement des cibles susceptibles d’être supprimées avec impunité.− Nat Hentoff, The Washington Post, 1992


Par John & Nisha Whitehead − Le 17 juillet 2025 − Source Zero Hedge

La liberté corporelle — le droit à la vie privée et à l’intégrité quant à son propre corps — s’évapore à toute vitesse.

Le débat a désormais dépassé les vaccinations contraintes ou les examens médicaux contraints, et intègre désormais la surveillance biométrique, le suivi au travers d’objets connectés, et le profilage prédictif de santé.

Nous entrons dans un nouvel âge de contrôle algorithmique autoritaire, au sein duquel nos pensées, nos humeurs et notre biologie seront surveillées et jugées par l’État.

Il s’agit de la sombre promesse qui réside derrière la dernière campagne de Robert F. Kennedy Jr., le secrétaire des services humains et de santé du président Trump, poussant un avenir où tous les Étasuniens porteront des dispositifs biométriques portables de suivi de la santé.

Sous couvert de santé publique et d’émancipation personnelle, cette initiative n’est rien d’autre que la normalisation d’une surveillance corporelle exercée 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 — instituée dans un monde où chaque pas, chaque battement de cœur et chaque fluctuation biologique sera surveillée non seulement par des sociétés privées, mais aussi par le gouvernement.

Dans ce complexe de surveillance industrielle en émergence, les données de santé deviennent une monnaie. Les sociétés technologiques tirent des bénéfices des ventes de matériel et des abonnements à des applications, les assureurs tirent parti des notations de risques, et les agences gouvernementales tirent profit d’une augmentation du conformisme et d’un panorama comportemental de la population.

Cette convergence de la santé, de la technologie et de la surveillance n’est pas en soi une nouvelle stratégie — il s’agit tout bonnement de la dernière étape d’un long schéma de contrôle déjà familier.

La surveillance avance toujours drapée dans le progrès

Chaque nouvelle vague de technologie de surveillance — traqueurs GPS, caméras infrarouges, reconnaissance faciale, sonnettes de porte connectées, enceintes connectées Alexa — nous a été vendue comme outil plus pratique, plus sûr, plus connecté. Mais avec le temps, chacun de ces dispositifs devient un mécanisme de traçage, de surveillance et de contrôle du public.

Ce qui a démarré sous couvert de volontariat est devenu inévitable et obligatoire.

Dès le moment où nous avons accepté la prémisse selon laquelle la vie privée peut s’échanger parce que c’est pratique, nous avons pavé la route vers une société où aucun espace n’est plus hors de portée du gouvernement — ni notre maison, ni notre véhicule, ni même notre propre corps.

Le projet d’objets connectés porté par RFK constitue simplement la dernière itération en date de ce dispositif d’appât : présenté comme une liberté, fabriqué comme une cage.

Selon le projet de Kennedy, qui a été promu dans le cadre d’une campagne nationale « Make America Healthy Again, » les objets connectés suivraient entre autres les niveaux de sucre, les battements cardiaques, l’activité, le sommeil, pour chaque Étasunien.

La participation à un tel programme ne sera certes pas obligatoire au moment de son lancement, mais les implications en sont claires : embarquez, ou prenez le risque de devenir un citoyen de seconde classe dans une société dirigée par la conformité des données.

Ce qui a commencé comme un jeu d’outils d’auto-surveillance optionnels, vendus par les société Big Tech, est voué à se transformer en nouvel outil dans l’arsenal de surveillance de l’État policier.

Des appareils comme les Fitbit, les montres Apple, les traceurs de glucose, et les montres connectées collectent des quantités énormes de données intimes — allant du stress et de la dépression aux irrégularités cardiaques et aux premiers signes de maladies. Lorsque ces données se retrouveront partagées entre les bases de données du gouvernement, des assureurs et des plateformes de santé, en sortira un outil puissant non seulement pour l’analyse sanitaire — mais aussi pour le contrôle.

Jadis symboles de bien-être personnel, ces objets connectés deviennent peu à peu en étiquettes numériques pour le bétail — des badges de conformité suivis en temps réel et régulés par algorithmes.

Et ça ne va pas s’arrêter là.

Le corps devient rapidement un champ de bataille dans la guerre en expansion du gouvernement sur les domaines intérieurs.

L’infrastructure est déjà en place pour profiler et mettre en détention les personnes sur la base de « risques » psychologiques perçus. Imaginez à présent un avenir qui verra vos données issues de vos appareils connectés déclencher des sémaphores concernant la santé mentale. Des niveaux de stress élevés. Un sommeil erratique. Un rendez-vous manqué. Une chute subite de la variabilité du rythme cardiaque.

Aux yeux de l’État de surveillance, ces éléments pourraient constituer des drapeaux rouges — une justification pour une intervention, une enquête, ou pire encore.

L’adoption par RFK des technologies d’objets connectés ne constitue pas une innovation neutre. Il s’agit d’une invitation à étendre la guerre du gouvernement contre les crimes de pensée, la non-conformité en matière de santé, et les écarts personnels.

Il s’agit de transformer la présomption d’innocence en présomption de diagnostic. Vous n’allez pas bien jusqu’à ce que l’algorithme stipule que vous allez bien.

Le gouvernement a déjà transformé en arme les outils de surveillance pour réduire au silence la dissidence, pour marquer à la culotte les critiques politiques, et suivre en temps réel les comportements. À présent, avec les objets connecté, il y ajoute une nouvelle arme : l’accès au corps humain comme à un site de soupçons, de déviance et de contrôle.

Pendant que les agences gouvernementales prépareront la voie vers le contrôle biométrique, ce sont les entreprises — compagnies d’assurance, géants de la tech, employeurs — qui mettront en œuvre l’État de surveillance.

Les objets connectés ne font pas que collecter des données. Ils les trient, les interprètent, et les entassent dans des systèmes qui pratiques des décisions aux enjeux très élevés concernant votre vie : si vous disposez d’une couverture d’assurance, si vos taux augmentent, si vous êtes apte à être embauché ou éligible à une aide financière.

Comme le rapporte ABC News, un article de JAMA émet un avertissement : les objets connectés pourraient facilement être utilisés par les assureurs pour refuser certaines couvertures, ou déployer des offres premium sur la base de métriques personnelles comme les absorptions de calories, les fluctuations de poids et la pression sanguine.

Il n’est pas délirant d’imaginer cela ruisseler dans les évaluations professionnelles, les notations de crédit, ou même des classements sur les réseaux sociaux.

Des employeurs proposent déjà des remises en échange de suivi « volontaire » du bien-être — et pénalisent ceux qui n’y participent pas. Les assureurs accordent des incitations à un comportement sain — jusqu’à ce qu’ils décident que les comportements non sains doivent impliquer une punition. Les applications ne suivent pas uniquement le nombre de pas, mais l’humeur, l’utilisation de substances, la fertilité et l’activité sexuelle — apportant du carburant à une économie des données toujours affamée.

Cette trajectoire dystopique est connue et annoncée depuis longtemps

Dans Le Meilleur des Mondes d’Aldous Huxley (1932), on maintient la conformité non par la violence, mais par le plaisir, la stimulation, et la sédation chimique. Le peuple est conditionné à accepter la surveillance en échange de facilité, de confort et de distractions.

Dans THX 1138 (1971), George Lucas projette la vision d’un régime étatique corporatiste où la surveillance biométrique, les drogues de régulation de l’humeur, et les manipulations psychologiques réduisent les humains à des unités biologiques sans émotions et conformistes.

Gattaca (1997) imagine un monde dans lequel le profilage génétique et biométrique détermine dès la naissance le destin de chacun, en éliminant la vie privée et le libre arbitre au nom de la santé publique et de l’efficacité sociale.

Dans le film Matrix (1999), écrit et dirigé par les Wachowski, les êtres humains sont cultivés comme sources d’énergie, enfermés dans une réalité simulée — un parallèle déconcertant avec notre ancrage de plus en plus marqué dans les systèmes qui surveillent, monétisent et manipulent notre moi physique.

Minority Report (2002), dirigé par Steven Spielberg, dépeint un régime de surveillance pré-criminel dirigé par des données biométriques. Les citoyens sont tracés dans l’espace public au moyen de scans rétiniens, et ciblés par des publicités personnalisées — transformant le corps en passeport de surveillance.

La suite anthologique Black Mirror, inspirée par The Twilight Zone, transporte ces avertissements dans l’âge numérique, et met en scène la manière suivant laquelle la surveillance constante des comportements, des émotions et des identités produit la conformité, le jugement et la crainte.

Si on les considère comme un ensemble, ces pierres angulaires culturelles délivrent un message ferme : la dystopie ne débarque pas du jour au lendemain.

Conformément à l’avertissement produit par Margaret Atwood dans The Handmaid’s Tale, « Rien ne change instantanément : dans une baignoire que l’on réchauffe peu à peu, vous vous retrouvez mort par ébouillantage avant de vous en rendre compte. » Le roman d’Atwood se concentre sur le contrôle reproductif, mais le message d’avertissement qu’il envoie au sens large est très pertinent : lorsque l’État s’empare d’une autorité sur les corps — que ce soit au travers de registres des grossesses ou au travers de contrôles biométriques — l’autonomie corporelle devient conditionnelle, fragile et est facilement révoquée.

Les outils sont différents les uns des autres, mais la logique de domination reste la même

Nous sommes désormais confrontés à ce qu’Atwood a décrit comme un contrôle reproductif sous une forme numérisée et élargie : l’érosion silencieuse de l’autonomie, par la normalisation d’une surveillance constante.

Lorsque le gouvernement et les grandes entreprises s’emparent de l’accès à l’intimité de notre vie, que reste-t-il de l’individu ?

Posez-vous cette question : à partir du moment où la surveillance devient l’une des conditions à la participation au marché de l’emploi, au système éducatif et au système de santé modernes, sommes-nous encore libres ? Ou sommes-nous devenus, comme dans chaque grand ouvrage d’avertissement dystopique, conditionnés à ne pas résister, mais à nous conformer ?

Tel est le coût caché de ces commodités technologiques : le traceur de bien-être d’aujourd’hui sera demain la laisse bouclée autour de votre cou par les grosses sociétés.

Dans une société où les données corporelles sont collectées et analysées, le corps lui-même devient la propriété du gouvernement et des grandes entreprises. Votre corps devient une forme de témoignage, et vos données biométriques sont traitées comme des preuves. La liste des intrusions corporelles que nous avons documentées — coloscopies forcées, prises de sang, échantillonnage de l’ADN, fouilles corporelles internes, éthylotests — est croissante.

À cette liste, nous ajoutons désormais une forme d’intrusion plus subtile, mais également plus insidieuse : le consentement biométrique contraint.

Une fois le traçage de santé devenu un prérequis de facto pour l’emploi, l’assurance ou la participation au système social, il deviendra impossible de se « désabonner » sans subir des pénalités. Quiconque résiste sera marqué comme irresponsable, en mauvaise santé, ou même dangereux.

On a déjà eu des aperçus édifiants de l’endroit où cela peut nous amener. Dans les États connaissant des restrictions concernant l’avortement, la surveillance numérique a été utilisée comme arme pour tracer et poursuivre des personnes essayant d’avorter — en utilisant des applications de suivi des menstruations, des historiques de recherche, et des données de géolocalisation.

Une fois que l’autonomie corporelle se voit criminalisée, les traces numériques que nous laissons derrière nous deviennent des preuves dans le cadre de poursuites déjà décidées par l’État.

Cela va plus loin qu’une simple expansion du système de soins. Il s’agit de transformer la santé en mécanisme de contrôle — un cheval de Troie permettant à l’État de surveillance de revendiquer la propriété de la dernière frontière privée : le corps humain.

Car au bout du chemin, il ne s’agit pas simplement de surveillance — il s’agit de savoir qui va pouvoir vivre.

Trop souvent, les débats sont artificiellement bridés comme n’ayant que deux débouchés possibles : la sûreté face à la liberté, la santé face à la vie privée, le conformisme face au chaos. Mais ces barrières de pensée sont des illusions. Une société véritablement libre et juste peut protéger la santé publique sans sacrifier l’autonomie du corps ou la dignité humaine.

Nous devons résister au narratif qui exige notre reddition totale en échange d’une sécurité.

Dès lors que les données biométriques deviennent la monnaie d’une économie de surveillance pilotée par la santé, savoir quand ces données seront utilisées pour déterminer quelles vies méritent un investissement — et quelles vies n’en méritent pas — n’est plus qu’une question de temps.

Nous avons déjà vu cette dystopie

Dans le film Soleil Vert, sorti en 1973, les personnes âgées deviennent sacrifiables lorsque les ressources viennent à manquer. Mon ami Nat Hentoff — une voix qui s’est élevée parmi les premières contre la dévaluation de la vie humaine — a lancé l’alarme à ce sujet il y a des décennies. Jadis favorable à la liberté de choix concernant l’avortement, Hentoff en est venu à penser que l’érosion de l’éthique médicale — en particulier l’acceptation croissante de l’avortement, de l’euthanasie, et les soins sélectifs — constituaient le terreau d’une déshumanisation institutionnalisée.

Comme nous avertit Hentoff, une fois que le gouvernement valide la fin délibérée de certaines vies, la pente devient glissante : des pans de plus en plus larges de la population vont devenir sacrifiables au fil du temps.

Hentoff désigne cette idée comme un « utilitarisme pur — le plus grand bien pour le plus grand nombre. Et les personnes qui encombrent la voie — ici, les personnes âgées pauvres — doivent libérer l’espace. Pas assassinées, oh grand Dieu non. Mais qu’on les installe confortablement jusqu’à ce qu’ils meurent le plus vite possible, en toute conscience. »

Ces préoccupations n’ont plus rien de théorique

En 1996, dans un écrit sur l’examen par la Cour Suprême du suicide assisté médicalement, Hentoff affirmait qu’une fois qu’un État décide qui va mourir « pour son propre bien », il n’existe « plus aucune limite absolue. » Il cite des responsables médicaux et des militants pour les droits des personnes handicapées craignant que les pauvres, les vieux, les handicapés et les malades chroniques deviennent les cibles d’un système privilégiant l’efficacité par rapport à la longévité.

De nos jours, les données collectées au travers d’objets connectés — rythme cardiaque, humeurs, mobilité, conformité — peuvent façonner des décisions en matière d’assurances, de traitements et d’espérance de vie. Dans combien de temps les algorithme décideront-ils tranquillement quelles souffrances coûtent trop cher, quels besoins sont trop exigeants, et quels corps ne méritent plus d’être sauvés ?

Ce sujet n’est pas de gauche ou de droite.

La déshumanisation — processus consistant à dépouiller des personnes ou des groupes de personnes de leur dignité, de leur autonomie, ou de leur valeur morale — traverse tout le spectre politique.

De nos jours, les éléments de langage et les politiques déshumanisants ne se confinent pas à une seule idéologie — ils sont utilisés comme armes par tous les partis. Des personnalités de premier plan ont commencé à désigner les opposants politiques, les immigrés, et d’autres groupes marginalisés comme « non humains«  — un écho gênant de qualificatifs ayant par le passé justifié des atrocités.

Mother Jones rapporte que J.D. Vance a soutenu un livre, écrit par les influenceurs Jack Posobiec et Joshua Lisec, promulguant l’écrasement des « non humains » comme de la vermine.

Ce type de rhétorique n’a rien d’abstrait — ça compte vraiment.

Comment un parti peut-il être crédible en se désignant « pour la vie » tout en dévaluant l’humanité de groupes entiers, en les dépouillant de leur valeur moral qui devrait être un élément fondamental de la société civile ?

À partir du moment où l’État et les grandes entreprises à lui alliées traitent les gens comme des données, comme des sujets de conformité, et ou comme « sans valeur », ils démantèlent la notion même de dignité égale pour tous les êtres humains.

Dans un tel monde, les droits — y compris le droit à l’autonomie corporelle, aux soins, ou même à la vie — deviennent des privilèges, accordées uniquement à ceux qui présentent une « valeur ».

C’est pour cette raison que notre lutte doit être à la fois politique et morale. Nous ne pouvons pas défendre la souveraineté du corps sans défendre chaque droit à la même humanité pour chaque être humain.

La déshumanisation des personnes vulnérables traverse les lignes politiques

Elle se manifeste de manière différente — ici par des coupes budgétaires, là par des directives et des critères d’évaluation — mais le résultat est le même : une société qui ne considère plus des êtres humains, mais des points de données.

La conquête de l’espace physique — domicile, voiture, espaces publics — est quasiment terminée.

Reste la conquête de l’espace intérieur : notre biologie, notre code génétique, notre psychologie, nos émotions. Au fur et à mesure que les algorithmes prédictifs gagnent en sophistication, le gouvernement et ses partenaires du monde de l’entreprise vont en faire usage pour évaluer des risques, désigner des menaces, et assurer une conformité en temps réel.

L’objectif n’est plus simplement de surveiller les comportements, mais de les modifier à leur gré — pour prévenir les dissidences, les déviances, ou les maladies avant leur survenue. Il s’agit de la même logique que celle sous-jacente au film Minority Report, des interventions de santé mentale avant la commission d’un crime, et des évaluations fondées sur l’IA.

Si tel est l’avenir de la « liberté de santé », alors la liberté a déjà changé de définition, pour devenir soumise à l’algorithme.

Nous devons résister à la surveillance de notre moi intérieur et extérieur.

Nous devons refuser l’idée selon laquelle la sûreté exige une transparence totale — ou selon laquelle la santé exige une surveillance constante. Nous devons revendiquer la sacralité du corps humain comme espace de liberté — pas un point de données.

La poussée pour une adoption de masse d’objets connectés n’est pas un sujet de santé. Il s’agit d’un conditionnement.

L’objectif est de nous habituer — subtilement, systématiquement — à accepter la propriété de nos corps par le gouvernement et les grandes entreprises.

Nous ne devons pas oublier que notre nation a été fondée sur l’idée radicale selon laquelle tous les êtres humains sont créés égaux, « dotés de Droits inaliénables par leur Créateur, » comme la vie, la liberté, et la poursuite du bonheur.

Ces droit ne sont pas accordés par le gouvernement, par des algorithmes, ou par le marché. Ils sont inhérents. Ils sont indivisibles. Et ils s’appliquent à chacun d’entre nous — ou alors, bientôt, ils ne s’appliqueront plus à personne.

Les Pères Fondateurs ne s’y sont pas trompés : leur affirmation de notre humanité partagée est plus vitale que jamais.

Comme je l’expose dans mon ouvrage Battlefield America: The War on the American People et dans son homologue fictionnel The Erik Blair Diaries, la tâche qui nous incombe est de savoir si nous allons défendre cette humanité — ou la céder, un objet connecté après l’autre. Le moment est venu de tracer la ligne rouge — avant que notre corps ne soit relégué au statut de propriété de l’État.

John & Nisha Whitehead

Traduit par José Martí pour le Saker Francophone

songkrah.blogspot.com

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