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√Sans fondement ? ~ Songkrah


Si vous pouvez arrêter un ancien président nommé Donald Trump, vous pouvez arrêter un ancien président nommé Barack Obama. − Peachy Keenan sur « X »


Par James Howard Kunstler – Le 25 juillet 2025 – Source Clusterfuck Nation

Ne pensez-vous pas qu’il est temps que le New York Times cesse d’utiliser le cliché « sans fondement » pour qualifier les allégations — désormais officielles — de complot séditieux visant à destituer le président Trump après les élections de 2016 ? De toutes les fausses déclarations « journalistiques » émanant de ce bastion de vendus dégénérés, « sans fondement » est la plus fausse, comme si le mot imprimé dans un titre avait un pouvoir magique, comme si le simple fait de l’affirmer pouvait faire disparaître tous vos problèmes — pouf !

C’est le raisonnement d’enfants malveillants qui n’ont pas développé le sens du vrai ou du faux, du bien ou du mal, et qui deviennent des adultes spécialement autorisés, par une nouvelle perversion du contrat social, à faire tout ce qu’ils veulent en toute impunité. Et ces enfants méchants sont devenus la classe dirigeante américaine, l’élite qui est censée penser à votre place dans les éditoriaux, les experts diplômés, tels que Tony Fauci, « l’économiste » Paul Krugman, l’avatar de la DEI et la patronne de NPR Katherine Maher, le professeur de droit à Harvard Lawrence Tribe… La liste est interminable, mais vous voyez le tableau.

Cette classe est également propriétaire et exploitante de l’État profond américain, qui, en 2016, était devenu une colossale organisation criminelle, blanchissant des milliards de dollars provenant des contribuables dans des ONG vouées à la destruction culturelle et politique du pays, tout en transformant les dons de campagne en fortunes fantastiques pour des personnes gagnant officiellement moins de 200 000 dollars par an. Ce racket a également réussi à payer le soutien de multitudes allergiques au travail, à condition qu’elles soient disponibles pour participer à des émeutes et à des campagnes de collecte de votes.

À la fin des deux mandats de Barack Obama, le système fonctionnait à plein régime, et la créature la plus privilégiée du bestiaire des baby-boomers était prête à prendre son « tour » dans le Bureau ovale, après avoir amassé une fortune de plus de 300 millions de dollars en tant que sénatrice américaine (salaire : 174 000 dollars par an) et secrétaire d’État (salaire : 199 700 dollars par an, à l’époque) – et l’on imagine aisément la panique générale à l’idée qu’un certain Donald John Trump, vulgaire outsider hors pair, promette de prendre le pouvoir et de vider ce marécage massif, putride, nécrotique, parasitaire et infesté de népotisme, laissant ses prédateurs haletants sur les berges nauséabondes du Potomac, tels autant de grunions mourant sur la plage de Redondo.

Barack Obama, apparemment, s’est transformé en Dark Vador et s’est vu remettre un sabre laser (le dossier Steele d’Hillary) par John Brennan, grand duc de la planète des services de renseignements. Et le reste aurait dû appartenir à l’histoire, mais au lieu de cela, il a pourri dans le corps politique américain pendant plus de dix ans comme un tubercule enflammé et éclate maintenant de la cavité péritonéale du Beltway dans un spectaculaire jet d’ordures, collant à tout et à tous comme mille queues épinglées sur l’éternel âne Démocrate. Hélas, Babylone-sur-le-Potomac…

Et puis : « sans fondement », mon cul. . . . La preuve de toutes ces manigances est en train d’être fournie par la seule personne en mesure de récupérer les preuves écrites auprès des différentes agences hautement sécurisées dont elle est la superviseure ultime, ce qui n’avait jamais été fait auparavant, en particulier pendant les semaines cruciales de la fin 2020, lorsque John Ratcliffe occupait ce poste. Si Tulsi a réussi là où Ratcliffe a échoué, c’est probablement grâce aux nouveaux systèmes d’intelligence artificielle qui facilitent grandement la collecte d’informations croisées à travers les innombrables serveurs des nombreuses agences de renseignement. Et donc, maintenant, les révélations affluent jour après jour.

C’est là où en sont les choses et la poussière n’a même pas encore commencé à retomber, l’ancien président Obama semblant être victime de son propre piège tendu en décembre 2016. Il n’est pas encore certain que toutes les informations déclassifiées puissent être utilisées pour monter des dossiers pouvant donner lieu à des poursuites, mais on peut imaginer que cela se fera rapidement, si cela est possible. Cela ne constituera peut-être pas une trahison en soi, mais il existe de nombreuses autres accusations graves, allant généralement de la privation de droits sous le couvert de la loi (18 U.S.C. § 242) à la conspiration séditieuse, c’est-à-dire le renversement du président (18 U.S.C. § 2384), afin de mettre un certain nombre d’anciens fonctionnaires en combinaison orange derrière les barreaux.

Je doute cependant que nous ayons pris la mesure des dégâts causés par les auteurs du RussiaGate et des crimes en série qu’il a entraînés, à savoir le fait d’avoir rendu complètement folle la moitié de la population de notre pays. Une fois le RussiaGate mis en place, toutes les absurdités ont été gobées par l’opposition de plus en plus délirante à Donald Trump, largement regroupée sous la bannière du « Parti démocrate ». On vous a fait croire à des absurdités manifestes, comme le fait que les hommes peuvent devenir des femmes, que les émeutes avec incendies criminels étaient pour la plupart des manifestations pacifiques, que la frontière entre les États-Unis et le Mexique ne pouvait être contrôlée sans une nouvelle législation de grande envergure, et que Joe Biden, manifestement corrompu et sénile, était un chef de l’exécutif compétent et efficace.

L’opération Covid-19 a été le coup de grâce pour la santé mentale de la gauche, tout en étant une solution miracle pour se débarrasser de M. Trump lors des élections de 2020. Il y a même des raisons de croire que les vaccins à ARNm, avec leurs charges utiles de protéines Spike, ont causé des lésions cérébrales physiques par le biais de troubles vasculaires induits. Des millions de personnes qui les ont pris pourraient ne jamais retrouver leurs esprits, mais pour l’instant, ce n’est qu’une hypothèse.

Si des poursuites sont engagées contre ceux qui ont participé à ce coup d’État de longue haleine et si elles aboutissent devant les tribunaux à l’issue d’un procès honnête et équitable, nous saurons si la moitié du pays est capable de retrouver suffisamment de rationalité pour accepter le verdict. Pour l’instant, les signes sont décourageants, car ils semblent s’enfoncer davantage dans l’illusion, en nommant des communistes djihadistes purs et durs à des postes importants et en poursuivant leur campagne judiciaire visant à paralyser toutes les actions de l’exécutif de M. Trump.

L’objectif ultime, pour ceux qui souhaitent poursuivre le projet de cette république américaine, sera de voir s’il est possible de rétablir un consensus viable sur une culture commune et le bien commun, fondé sur des principes qui sont tout sauf sans fondement : l’égalité de protection devant la loi, l’équité, les droits de propriété et le respect de la vérité vérifiable.

James Howard Kunstler

Pour lui, les choses sont claires, le monde actuel se termine et un nouveau arrive. Il ne dépend que de nous de le construire ou de le subir mais il faut d’abord faire notre deuil de ces pensées magiques qui font monter les statistiques jusqu’au ciel.

Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone

songkrah.blogspot.com

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